Cinquantenaire d'une grande vague d'OVNI

Il y a exactement cinquante ans, un énorme déferlement de "soucoupes volantes", comme on les appelait à l'époque, s'est abattu sur l'Hexagone. Dans le même temps, d'autres pays ont enregistré le même type d'incidents, mais à un niveau moins important, comme l'Italie et certains pays d'Amérique du Sud, ainsi qu'aux États-Unis. Voici un bref recensement des cas les plus marquants répertoriés par notre ami Jérôme Beau, chercheur et webmaster du site http://www.rr0.org qui revient sur les faits de cette année historique.

Prémices

En automne 1954, on a signalé en France plus de 3000 cas d'observations d'OVNI dont une centaine d'atterrissages avec vue d'occupants. C'est la plus grande vague d'OVNI au monde. Quelques cas marquants...

Février 1954 - 14 h 00 : à Lombez (Gers), Mme Jandot et 3 autres témoins anonymes observent un engin immobile à très basse altitude, à la verticale d'un pont.

Mars 1954 - 12 mars, 9 h 35 : à Nouasseur (Maroc français), le 1er lieutenant de l'USAF Robert Johnson, prend en chasse avec son F-86 un objet se déplaçant à plus de 530 miles/h. Durant 30s, il ne peut le rejoindre. L'objet semble de taille similaire à un chasseur mais ne possède ni réservoirs ni bandes [cas Blue Book n°2937 non résolu].

À Santa Maria (Brésil), un homme observe 2 occupants d'un engin ovale qui parlent une langue étrangère. L'engin disparaît instantanément, sans un bruit.

Avril 1954 - Le 8 ou 9 avril, 16 h 30 : à Chicago (Illinois), Lelah Stoker observe durant 30 mn un disque au sommet arrondi, et un humanoïde suspendu en dessous, effleurant l'eau, atterrissant, et un occupant dans une combinaison verte marcher autour. L'objet décolle très rapidement [cas Blue Book n°2962 non résolu].

Fin avril, après-midi : à Bois-du-Champ (Vosges), Roger Rougeolle et Gilbert Doridant voient un gigantesque ovni en forme de dirigeable, immobile à quelques centimètres du sol. Sa coque a l'air d'être en acier et pour s'en assurer, Rougeolle s'en approche au plus près et tente de lui donner un coup du plat de sa hache. Il se retrouve projeté à quelques mètres en arrière par une force répartie uniformément sur son corps. [LDLN N°275-276, p. 27].

Au printemps (date indéterminée) - 02 h 40 : à Menton (Alpes-de-Haute-Provence), un témoin observe les agissements de l'occupant d'une soucoupe atterrie. Celui-ci saisit un objet tubulaire accroché à son ventre (ceinture ?) et le dirige soudain vers lui. Le témoin se sent paralysé. Lorsqu'il reprend ses esprits, la soucoupe a décollé et s'éloigne du témoin [LDLN n°126, p. 8] [Figuet, p. 169].

Mai 1954 - Donald Keyhoe annonce que 2 satellites artificiels gravitent autour de la Terre ; ils défient les lois de la physique et leur orbite est très irrégulière. Il ne s'agit pas d'engins fabriqués par l'homme. D'autres chercheurs feront la même observation.

Juin 1954 - 10 juin, 21 h 09 : à Estacado (Texas), le capitaine de l'USAF Bill McDonald est en vol. Il observe une lumière blanche descendre à 45° depuis une haute altitude, passer sous son appareil, faire un tour à 360° et s'en aller au bout de 30 s [cas Blue Book n°3042 non résolu].

29 juin : quittant l'aéroport New-Yorkais Idlewild (aujourd'hui rebaptisé John F. Kennedy), le Boeing Stratocruiser Centaurus de la British Overseas Airways Corporation avance lentement (415 km/h) à une altitude de 5700 m vers Newfoundland pour une escale de ravitaillement avant de franchir l'Atlantique et gagner l'Angleterre. Au-dessus de la mer, au large des côtes du Labrador, le capitaine James Howard voit à sa gauche un immense objet, apparemment métallique, émerger d'un trou du nuage au-dessus de lui. 6 objets plus petits l'encerclent. L'objet le plus grand se met à prendre successivement plusieurs formes. Le capitaine Howard en dessine certaines sur son bloc-notes : il s'agit notamment d'une poire, d'un combiné téléphonique et d'un boomerang ou d'une aile delta. Le copilote Lee Boyd contacte le contrôle au sol et dit :
Nous ne sommes pas seuls.
- Nous savons, lui répondit-on.
- Qu'est-ce que c'est ? interroge Boyd.
- Nous ne le savons pas mais nous avons fait décoller un Sabre (un jet de chasse) de Goose Bay pour aller voir.
Les ovnis qui suivent le Stratocruiser à 5 km de distance durant 20 mn observent la même allure que lui, et sont contemplés par l'équipage et les 30 passagers. Lorsque le Sabre s'approche, les six objets plus petits se mettent en ligne et fondent un à un dans le plus grand. Celui-ci commence alors à rapetisser. Lorsque le Sabre est arrivé, l'ovni s'est évanoui. 30 juin : observation à Keflauik (Islande)

Intensification

Durant l'été, on constatera une augmentation importante des observations en France et en Italie. Outre l'Europe, sont aussi concernés les États-Unis, l'Amérique du Sud, l'Afrique occidentale, la Nouvelle-Zélande et l'Australie.

Juillet 1954 - 1er juillet, 12 h : les radars de la base aérienne de Griffiss (New York) détectent l'approche d'un objet aérien non identifié. Un chasseur à réaction biplace F-94 Starfire armé de missiles est envoyé pour l'intercepter. Alors qu'il approche de l'engin, une intense chaleur envahit soudain le cockpit. Cela devient si intolérable que le radariste, puis le pilote, sont contraints de s'éjecter. Tandis que l'ovni s'éloigne, le F-94 tombe en piqué sur l'agglomération de Walesville où il percute une habitation, prend feu et termine sa course sur une voiture, tuant ses quatre passagers. La catastrophe fait cinq autres blessés, dont deux grièvement atteints. Les deux aviateurs, saints et saufs, sont très vites récupérés par des voitures de l'USAF et les autorités militaires leur ordonnent un silence total sur l'affaire. Mais, avant d'être ramené à la base, le pilote a le temps de signaler l'étrange phénomène à un journaliste accouru sur les lieux (Keyhoe). Le lendemain l'USAF publie un communiqué officiel sur l'incident : l'avion avait décollé d'urgence pour intercepter à tout prix un objet aérien inconnu et la mission avait été accomplie avec succès. Le crash du chasseur était dû à une panne de réacteur.

Reconstitution ou canular suite à une observation à Taormina (Sicile), le 19 novembre 1954.

3 juillet : dans la nuit, le capitaine Spahn, opérateur radar d'un bombardier B-36H de l'USAF en vol au-dessus de l'Atlantique, photographie (ci-contre) une formation de 7 échos d'ovnis au-dessus des Bermudes. L'US Navy les identifiera comme étant un porte-avions escorté de destroyers.

Août 1954 - 20 août : par un bel après-midi, 2 jeunes sours récoltent des myrtilles dans les bois lorsqu'elles rencontrent un étranger dont elles ne comprennent pas la langue. Il est de taille moyenne, son visage à la peau assez foncée est agréable, ses yeux semblent un peu obliques et ses cheveux sont longs, naturellement ondulés. L'étranger porte une sorte de combinaison avec une large ceinture, sans boutons ni fermetures apparentes, serrée au cou et aux poignets. Les sours sont frappées par l'impression de bienveillance qu'il leur donne. Comme ils ne parviennent pas à se parler, il leur fait un dessin qui semble évoquer le système solaire, puis il les conduit jusqu'à un curieux engin posé au sol, ressemblant à deux pots géants collés l'un sur l'autre, de couleur gris-bleu. Il se glisse à l'intérieur par une écoutille après leur avoir fait signe de s'écarter. Les deux jeunes filles voient l'engin s'élever doucement jusqu'à 30 m environ, avec un léger bourdonnement, après quoi il se met à tourner très vite et disparaît en un instant.

24 août : l'hebdomadaire Aviation Week affirme que les deux satellites signalés en mai par Donald Keyhoe tournent sur eux-mêmes en restant à une distance de 600 à 900 km de la surface terrestre.

Le plus fort de la vague

À partir du mois de septembre le phénomène prend des proportions incontrôlables. Les témoignages affluent de toute part.

Septembre 1954 - 10 septembre, 22 h 30 : Marius Dewilde, habite avec sa femme et son fils dans une petite maison isolée au milieu des bois et des champs, à 2 km du petit village de Quarouble, situé près de la frontière belge, dans le Nord, à l'Est de Valenciennes. Devant sa maison, un petit jardin entouré d'une palissade. La voie ferrée des houillères nationales, qui va de Saint-Amand à Blanc-Misseron, longe ce jardin, et à côté se trouve le passage à niveau n°79.
Vers 22 h 30, son attention est attirée par les aboiements de son chien. Croyant à la présence de quelque rôdeur, il prend sa lampe de poche et sort. Il aperçoit sur la voie ferrée, à moins de 6 m de sa porte, une masse sombre. Sur sa droite, il entend un bruit de pas précipités. Il allume sa lampe électrique vers le sentier et découvre deux "êtres" tout juste derrière la palissade marchant en direction de la masse sombre. Les 2 êtres sont vêtus de combinaisons analogues à celles des scaphandriers. Ils sont de très petite taille, probablement moins de 1 m, mais extrêmement larges d'épaules. Soudain une illumination puissante aveugle Dewilde qui se trouve comme paralysé. Lorsque le projecteur s'éteint, il recouvre ses facultés, mais déjà la masse sombre s'éleve et pique vers l'Ouest. À partir d'une certaine distance, il prend une luminosité rougeâtre et disparaît. [Michel 1958].
Le lendemain, le passage d'un train à petite vitesse à l'endroit même où se trouvait l'objet provoque un affaissement de la voie. Les enquêteurs stupéfaits, constatent une friabilité anormale de la voie et du ballast. Sur la voie ferrée, trois traverses de bois portent des marques, fraîches et propres : cinq enfoncements de 4cm² disposés de manière symétrique. Elles correspondent à un poids de 30 t environ selon l'estimation des ingénieurs des chemins de fer qui sont consultés.

12 septembre : à Quarouble (Nord), un commerçant anonyme, au volant de sa voiture, est paralysé par un rayon vert émanant d'un engin qui décolle.

13 septembre : on découvre trois vaches mortes dans une pâture voisine de Dewilde. Une autopsie révélera que les bêtes étaient évidées de leur sang.

14 septembre. Près de Grosseto (Toscane, Italie), deux habitants de Pitigliano observent un objet rond et blanc faisant un bruit étrange et puissant. L'objet s'arrête puis disparaît à grande vitesse [Un objet volant étrange vu en Toscane, Franc Tireur, Paris, 17 septembre 1954].

17 septembre : près de Cenon (Gironde), un agriculteur roule à bicyclette. Il sent soudain des démangeaisons lui parcourir le corps. Surpris, il descend de son vélo. Il est alors paralysé tandis que, devant lui, apparaît ce qu'il a appelé une machine. À ce moment, une petite créature vêtue d'une sorte de combinaison de plongeur s'approche de lui en émettant des sons étranges. Elle lui touche l'épaule, et repart dans la machine qui démarre en un éclair en émettant une lumière verte. Après son départ, le témoin sort de son état de paralysie. La description correspond à celle qu'a faite Marius Dewilde, une semaine plus tôt.

18 septembre : à Danane (Côte d'Ivoire), une foule de plusieurs milliers de personnes est survolée par un disque.

19 septembre, 22 h : à Cénon/Vouneuil-sur-Vienne (Vienne), Yves David est paralysé par une lumière verte [Le Libre Poitou, Poitiers, 30 septembre 1954, p.5].

22 septembre. Le soir : à Paris, des piétons se trouvant sur l'esplanade des Invalides voient apparaître puis disparaître dans les nuages deux petites boules lumineuses. Parmi les témoins se trouve Michèle Morgan. Le lendemain, Michèle Morgan raconte son observation, et recueille des moqueries de journalistes et de chansonniers.

24 septembre. 09 h : à Diges (Yonne), Yves Geoffroy et Gisèle Fin font une RR3. Deux traces distantes de 50 cm et larges comme le doigt sont remarquées dans la rosée par Mlle Fin. L'herbe est sèche à cet endroit. Les traces sont estimées trop petites pour être celles d'un hélicoptère Bell 47.

23 h : à Ussel (Corrèze), au lieu-dit La Chassagne, Etienne Cisterne conduit son tracteur, et voit une sorte d'engin lumineux venant droit sur lui à très basse altitude. Il s'enfuit épouvanté. Un arbre semble avoir subi les effets d'une chaleur intense à sa partie supérieure.

27 septembre, dans l'après-midi : à Perpignan (Pyrenées-Orientales), un étudiant anonyme est tellement ému après une RR3 qu'il fait demi-tour et rentre chez lui. Un médecin mandé diagnostique une crise nerveuse.

20 h 30 : à prémanon (Jura), quatre jeunes enfants de la famille Romand jouent dans une grange. Ils entendent leur chien aboyer. Raymond Romand, le plus âgé des enfants (12 ans) s'en inquiète et part à la recherche de l'animal. Il se trouve soudain face à une créature rectangulaire comme un morceau de sucre ! L'enfant lui jette des cailloux et cherche à s'approcher. Une force invisible et glaciale l'en empêche et le précipite à terre. Il s'enfuit alors en hurlant, tandis que la créature s'éloigne en direction d'une prairie. Quand les enfants avertissent leurs parents, ceux-ci ont encore le temps d'apercevoir une sphère brillante et rouge qui, à 150 m de là, survole la prairie.

Octobre 1954 - Lundi 4 octobre : à Poncey, Mme Fourneret et son fils voient un corps allongé émettant une lumière orange, large de 3 m, atterrir à 18 m de leur maison. Ils s'enfuient. Peu après, des voisins armés investissent le lieu et découvrent un grand trou, tout récent, dont l'apparence laisse penser que la terre a été aspirée. On ne trouve nulle part la terre manquante.

Mardi 5 octobre, 23 h : près de la Rochelle, M. et Mme Guillemoteau voient un engin de 2 à 3 m de hauteur et de 5 m de diamètre qui s'arrête à 1 m de haut, puis monte à la verticale. Des traces huileuses auraient été trouvées dans l'herbe [Vallée 1966].

Dans la nuit : Joseph Roy, 30 ans, mécanicien aux usines Panhard, roule à motocyclette à quelques mètres de la route de Reims à Rethel sur un chemin latéral, lorsqu'il voit face à lui une lueur vive et rougeâtre qui disparaît soudainement. Arrivé au point où il a vu la lueur, il remarque dans les champs un objet de 3 m de long, ayant la forme d'un gros obus, percé de hublots à l'avant. Il distingue également une vague silhouette. Pris de frayeur, il s'enfuit. 3 autres ouvriers auraient vu la même lueur au même endroit [Un gros obus percé de hublots dans Le Lorrain (Nancy) Samedi 9 - Dimanche 10 octobre 1954, p. 7 [Sider 1997].

Jeudi 7 octobre : à de Monteux (France), M. Margaillon observe un objet posé dans un champ. Il a la forme d'un hémisphère d'environ 2,50 m de diamètre. Le témoin manque d'air et se sent paralysé pendant l'observation.

Samedi 9 octobre, 7 h : un ouvrier agricole près de Lavoux, près de Poitiers (Vienne), aperçoit une créature haute de 1 m, vêtue d'une sorte de combinaison de plongeur, aux yeux brillants et aux cheveux longs. La créature le vise avec un double rayon de lumière, et semble avoir des bottes sans talons, une poitrine velue, et porte deux phares, l'un en dessous de l'autre, à l'avant de son vêtement.

18 h 30 : observation de Pournoy-la-Chétive (Moselle) : Gilbert Calba (12 ans), Daniel (9 ans) et Jean Pierre Hirsch (5 ans) font du patin à roulettes quand ils voient une machine brillante atterrir dans un champ près du cimetière. C'est une machine ronde d'environ 2,50 m de diamètre, reposant sur 3 pieds. Bientôt un homme en sort. Il tient à la main une torche électrique aveuglante. Son visage est couvert de poils. L'homme a de grands yeux, il est très petit, environ 1,20 m. Il est habillé d'un vêtement noir, large, comme la soutane d'un curé. Il regarde les enfants et leur dit quelque chose qu'ils ne comprennent pas. Il éteint sa torche. Pris de panique, les enfants partent en courant. Quand ils se retournent, ils voient quelque chose très haut dans le ciel, très brillant et se déplaçant à toute vitesse. Un 4ème témoin, Robert Maguin (16 ans), a observé de loin le phénomène.

Lundi 11 octobre : à Royan, trois Bordelais aperçoivent une lueur rouge au-dessus de la côte, à la tombée de la nuit. Ils avancent vers le phénomène et distinguent un objet en forme de disque, avec un dôme rouge orangé, qui plane à une dizaine de mètres du sol. Un peu plus loin, les Bordelais surprennent quatre créatures hautes de 1 m, accroupies sous l'appareil. Celles-ci regagnent en hâte leur engin, qui décolle en changeant de couleur.

Samedi 16 octobre : à Cier-de-Rivière, Guy Puyfourcat revient des champs en tenant sa jument par la bride. Tout à coup, il est survolé par un objet gris de 1,50 m de diamètre. Sa jument est alors "aspirée" par l'ovni et s'élève jusqu'à une hauteur de 3 m. Puis l'animal retombe au sol, assommé. Le témoin, qui a dû lâcher la bride pendant la lévitation de la jument, affirme n'avoir rien ressenti pendant cette étrange aventure.

Lundi 18 octobre : à Fontenay-Torcy (France), un homme et son épouse voient dans le ciel un objet rouge en forme de cigare. Soudain, l'objet plonge vers eux, laissant derrière lui une traînée rougeâtre, et atterrit dans les fourrés. Comme ils atteignent le faîte d'une colline, les témoins se trouvent face à face avec un individu corpulent, d'apparence humaine, mais qui n'a pas plus de 1 m de haut. Il porte un casque et ses yeux brillent d'une couleur orange. Un des deux témoins perd connaissance.

Mercredi 20 octobre : à Parravici d'Erba près de Côme (Italie), un homme vient de mettre sa voiture au garage quand il aperçoit un être étrange, grand d'à peu près 1,20 m, vêtu d'un habit lumineux, debout près d'un arbre. Quand la créature aperçoit l'automobiliste, elle lui envoie un rayon sortant d'une sorte de torche. Le témoin est paralysé, mais il parvient à serrer ses clefs avec sa main. Ce mouvement semble le libérer. Il bondit alors pour attaquer l'étranger qui s'élève de terre et s'envole en un tourbillon presque silencieux.

Jeudi 21 octobre : à Ranton Staffordshire, Jessie Rosenberg (29 ans) et ses deux enfants sont survolés par un objet en forme de lentille. Ils voient aussi deux silhouettes humanoïdes aux cheveux blonds qui les regardent d'en haut. Ils sont si effrayés qu'ils se cachent sous une table dans leur maison. [Mysterious Britain].

28 octobre : l'Aurore rapporte que le maire de Châteauneuf-du-Pape à pris un arrêté municipal interdisant le survol de sa commune aux soucoupes volantes.
à Isla de Lobos (Uruguay), une sentinelle s'apprête à tirer sur trois êtres qui se tiennent près d'un disque à coupole posé sur la plate-forme d'un phare. Elle est aussitôt paralysée et ressent la prémonition qu'il lui est inutile de faire feu. L'équipage regagne l'ovni qui décolle à la verticale, bourdonne, s'incline et disparaît en silence à très grande vitesse.

Novembre 1954 - 19 novembre : observation au-dessus de Taormina (Sicile). Les objets semblent avoir un diamètre de 30 m et sont silencieux. Plusieurs milliers de personnes peuvent les observer avant que les chasseurs à réaction italiens les mettent en fuite [Edwards 1966]. Une double-exposition est suspectée, apparemment confirmée par une enquête d'Antonio Blanco du CISU (Italie).

Pour écrire à l'auteur : Jérôme Beau : jbeau@noos.fr
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J.B. - TOP SECRET N°15 > Octobre-Novembre > 2004
 
   

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