Le Mystère et le Secret des Pierres

PRÉSENTATION

En Juin 1982, Jean ANNE fut, avec l'écrivain Guy Tarade et quelques autres chercheurs, l'initiateur de L'Institut pour la Recherche et la Connaissance des Sciences Avancées. Il a fait depuis cette époque de nombreuses conférences et séances audiovisuelles dans les Alpes-Maritimes et dans le Var. Ancien déporté et évadé, ayant appris la langue de Goethe pendant ces moments tragiques, puis inspecteur général maritime pour toute la côte d'Afrique, Jean Anne a su tirer profit de sa connaissance humaine et professionnelle pour se frayer un chemin dans les arcanes d'une connaissance jusqu'alors réservée aux seuls initiés. Cette article nous donne peut-être la clef permettant de résoudre le mystère des grands bâtisseurs d'Égypte.

Si l'on considère tout ce que la surface de notre Planète révèle d'étrange et d'irrationnel, l'on reste confondu devant l'impuissance de la science face à d'innombrables points d'interrogation.
Si, délaissant les voies des écoles traditionnelles, l'on tente une approche sur le sentier de recherches bien moins conventionnelles, des éléments de réponses apparaissent progressivement.
C'est par de telles démarches, de longues et patientes analyses qu'il a été possible de réunir certaines hypothèses et aussi, le plus passionnant, quelques certitudes.
Nous pouvons mieux comprendre pourquoi les mégalithes et aussi certaines constructions  mégalithiques cyclopéennes ont été implantés ou érigées un peu partout sur la presque totalité de la surface de notre globe et, semble-t-il répartis un peu au hasard.
Pour nous, maintenant, les mégalithes ont livré une partie de leurs secrets.

Il faut tout d'abord comprendre que les emplacements de ces mystérieuses pierres doivent être considérés comme de "Hauts Lieux". Leur caractère sacré est l'héritage occulte, fantastique, insolite et particulièrement impressionnant de tout un "Passé Inconnu".
Epars à travers le monde, ces Lieux sont des jalons et des repères chargés d'un Sens venu d'un Ailleurs inconnu : des hiérophanies, manifestations du Sacré matérialisé et paré de légendes et de mythes. Au fil du temps, la perte progressive des Connaissances Originelles, ayant fait place à une ignorance superstitieuse, diverses pratiques plus ou moins barbares, des rituels païens ou profanes se sont succédés sur ces lieux.
Face à ces pierres, l'homme éprouve un confus sentiment de fusion de lui-même avec la Nature et, s'il prend la peine de méditer quelques instants, il est inconsciemment absorbé par le Cosmos : il s'abîme au plus profond de son moi pour s'intégrer dans un Infini immense, transformé en une fraction infinitésimale de Temps semblant durer une Eternité, projeté en une boucle revenant sans cesse à son point de départ, telle une minuscule particule contenant en elle seule l'Univers tout entier, sans limites.

LES MÉGALITHES ONT TOUJOURS FASCINÉ LES HOMMES

Face à ces géants, ces blocs de dizaines de tonnes, masses minérales profondément plongées dans le sol (->), émergeant de la Nuit des Temps, l'individu, avec humilité, prend conscience de la faiblesse de son espèce.
Il doute que des ancêtres inconnus, malgré une vigueur légendaire, aient pu lever, transporter et assembler de tels monstres (<-). Mais rationnel, il rejette l'étrange et le surnaturel, et cherche à comprendre comment ces ancêtres inconnus ont pu, en leur temps, effectuer un tel travail herculéen. Comment ces pierres gigantesques sont-elles arrivées là et ont-elle été plantées très souvent fort loin de leurs lieux d'extraction ?

De savantes hypothèses ont été scientifiquement formulées, mais, à la réflexion, beaucoup semblent bien fragiles !
Alors, derrière et en deçà des Légendes et Contes de notre enfance, ne se cacherait-il pas l'ombre d'une Vérité originelle. Et très pertinente ? Toute une mythologie confuse est toujours associée à la présence de ces pierres. Une mythologie de tradition orale, souvent superstitieuse, de mythes transmis à travers les âges par des récits légendaires. Les landes désertes et sauvages, les rivières et les lacs perdus dans la brume des petits matins, encore frémissant de leurs séjours dans la nuit mystérieuse et magique, ne sont-ils pas les Lieux de prédilection où s'ébat tout un petit peuple étrange et puissant, invisible au commun des mortels ?
Il n'est que de parcourir les terres de France, d'Irlande, de Germanie, de Grande-Bretagne et des Pays Nordiques et de bien d'autres contrées, pour y dénombrer les mégalithes associés aux Fées, Nains ou Géants de toutes origines.
Un point est très remarquable : prompte à interpréter le rôle d'êtres surnaturels à travers les récits, la naïveté populaire est susceptible de fournir au chercheur d'intéressantes et fort précieuses informations, très pragmatiques et bien rationnelles.
Si ces êtres de Légendes avaient eu une autre apparence, à l'origine des faits réels, et si les "quenouilles" de ces braves fées avaient eu une autre dénomination que celui que la tradition orale contemporaine a pu attribuer à un instrument nous étant inconnu, nous n'en serions que fort peu surpris !

À ces Pierres de nombreuses et diverses superstitions sont donc attachées. Beaucoup procureraient guérisons et autres divers bienfaits. Prés d'autres se dérouleraient, de nos jours encore, quelques pratiques moins innocentes et pas très avouables !
Il est vrai que partout, la superstition a remplacé la connaissance de faits bien réels, basées sur des applications des Lois Universelles de Sciences bien connues des Hommes anciens, mais devenues incompréhensibles aux générations contemporaines.
Au début du christianisme, certaines "dévotions superstitieuses" mêlées de crainte, ont d'ailleurs parfois évité les destructions de ces merveilleux témoins du passé.
Ajoutons pour la beauté du récit, quelques menhirs fantasques (->) qui auraient la faculté de se promener à la mi-nuit de la Saint-Jean ou la nuit de Noël. Au pays de Galles, en Grande-Bretagne, un menhir aurait la fantaisie une fois l'an d'aller boire à la rivière toute proche (<-). Mais malheur au curieux qui voudrait surprendre cette "promenade" ! Sans oublier une pierre de grès sphérique d'une quarantaine de centimètres de diamètre, que tout un chacun peut voir sur la place de la Mairie du village de Gauchain-le-Gal, dans le Pas de Calais. Cette pierre que les habitants du lieu ont enchaînée à un bloc de béton, enterré dans le sol, entourée d'une grille venait très souvent, bien après le coucher du soleil, cogner violemment à la porte des maris infidèles ! Depuis qu'elle est ainsi attachée, les volages autochtones mâles du village dorment en paix, et leurs épouses aussi !
Nombreux sont les sites mégalithiques (->) qui, de nos jours, sont l'objet ou le support de dévotions, de pratiques cultuelles, surtout druidiques, rattachées à la Culture celte et à l'adoration du soleil (<-). Ayant conservé une parcelle de très vieilles traditions orales, les anciens initiés celtes, ont en effet perpétué une petite partie des connaissances ancestrales. Sans être pour autant systématiquement les planteurs de menhirs, les bâtisseurs des dolmens ou d'autres assemblages de pierres, tels les cromlechs, ils en connaissaient cependant les propriétés énergétiques vibratoires et les utilisaient à leur profit et dans l'intérêt des populations locales.
Des recherches récentes prouvent que ces ensembles gigantesques ont été érigés par des ancêtres inconnus, ayant agi en des temps reculés dans des buts bien précis : mettre au service des Hommes les bienfaits d'une Science très éloignée des connaissance et technologies actuelles. N'oublions pas que les Légendes et Contes merveilleux de notre enfance sont la transcription de très anciennes traditions orales, déformées au fil des âges, mais ayant puisé à une Source bien rationnelle restant à redécouvrir.

CONSTRUCTIONS MONUMENTALES

Le Monde est également parsemé de constructions monumentales dont les bâtisseurs semblent s'être inspirés des mêmes critères qui avaient guidé leurs prédécesseurs, créateurs les sites mégalithiques.
Ces assemblages sont plus complexes, plus sophistiqués dirions-nous à présent : ce sont les Pyramides, les Temples et les Murs cyclopéens.
Bien que l'affectation de tombeaux soit généralement attribuée à l'ensemble de ces constructions, certaines n'ont jamais eu une destination funéraire. En réalité, les Pyramides sont des Instruments géants : des capteurs, des condenseurs et des diffuseurs d'Energies (->) dont les buts et finalités nous échappent encore.

Les chercheurs avertis ont été fort surpris de découvrir que certaines fresques des Temples (->) des époques pharaoniques les plus reculées, révélaient la Connaissance (<-) qu'avaient les Grands Initiés égyptiens de la génétique, de la science de la médecine, de la chirurgie la plus fine et des mathématiques cosmiques.
Ces initiés ne disposaient pas plus que nous de la science infuse. Il est donc plus rationnel de penser qu'ils aient bénéficié d'une longue chaîne de Connaissances leur venant d'un certain passé.
Parmi les constructions mégalithiques, l'on ne peut pas ne pas citer les murs cyclopéens lesquels, tout en présentant un caractère de protection physique, ont eu avant tout la faculté de provoquer une concentration d'Énergies, renforçant les Forces Telluriques dont bénéficiaient les occupants des lieux, abrités derrière leurs enceintes.
En effet, tout comme les Pyramides et les Temples, ces Murs ont été assemblés sur des emplacements bien précis : des points d'émergence du "Géon", ces faisceaux d'Energies venant des profondeurs de notre Terre.

La plupart des Temples ont été érigés à des fins religieuses ou votives, pour honorer telle divinité dont on voulait s'attirer les bonnes grâces. Les participants aux cérémonies s'y déroulant étaient persuadés que plus le Temple était beau et harmonieux de Formes et de Proportions, plus larges seraient les bienfaits dispensés !
Il se dégage de chacune de ces Pierres, solitaires ou assemblées, de ces constructions plus ou moins élaborées, tout un rayonnement, permettant aux officiants réunis sur ces emplacements, d'obtenir la formation d'Egrégores, de Vortex énergétiques, engendrant différents phénomènes naturels agissant sur le psychisme, le mental, l'Esprit et, aussi, sur le physique des fidèles assemblés là à certaines époques soigneusement déterminées.

(NDLR : si l'on en croit les précisions données ici par Jean Anne, nous pourrions imaginer que la destruction des gigantesques statues de Bamiyan en Afghanistan (->), suivie par celle des deux immenses tours du World Trade Center, ont eu - en plus des motivations évidentes et réelles avancées par la presse - d'autres motivations plus occultes, et dont les effets néfastes attendus nous échapperaient encore.)

Sur certains de ces emplacements des "miracles" pouvaient se produire : hallucinations collectives, apparitions d'êtres étranges mythiques ou aussi guérisons "miraculeuses". Conjonction logique et bien rationnelle des Forces manipulées ou savamment maîtrisées que l'ignorante superstition populaire attribuait à la Déité ou au Saint Patron du lieu auquel la Pierre, l'Assemblage, le Temple, l'Eglise ou plus modestement la Chapelle Votive était consacré.
Pourquoi toute la gamme des Cathédrales, des vieilles Eglises et Chapelles de campagne ont-elles presque toujours été bâties sur des emplacements d'anciens Temples païens ou de dolmens parfois encore enfouis dans le sous sol ou sous leurs cryptes ?
Tout simplement parce que le but en était le même : CAPTER et UTILISER les RADIATIONS TELLURIQUES, MAGNETIQUES, RADIO-ACTIVES et d'autres non encore recensées, S'ECHAPPANT A LA VERTICALE DE CES "HAUTS-LIEUX SACRES", par ces sortes de "cheminées" invisibles...
Mais, pour capter et utiliser ces radiations afin d'engendrer une Symbiose énergétique particulièrement active, certains Paramètres doivent être harmonieusement et très judicieusement réunis.

Pour les Pierres et Ensembles Mégalithiques, trois facteurs doivent s'associer :
1. La FORME DE RADIATION, se dégageant sur le lieu ou dans un proche périmètre.
2. L'EPOQUE ou la DATE déterminant le Flux vertical de tel ou tel Rayonnement.
3. LA PRODUCTION D'UN VORTEX VIBRATOIRE SONORE : La Voix humaine, modulée : Chants oraisons psalmodiées, toutes formes de Prières, Incantations ou Mantras ou, encore, à l'aide de vibrations sonores produites par des instruments à vent, à cordes ou à percussion.

À l'intérieur des enceintes bâties et érigées sur de Hauts-Lieux Sacrés : Temples, Cathédrales, Eglises, Chapelles et autres Edifices consacrés, les Maîtres Bâtisseurs -Grands Initiés dans l'Art du Trait- ont toujours prévu une Architecture rigoureusement Harmonieuse si parfaite, que les PROPORTIONS DES VOLUMES ACTIVENT des ONDES DE FORMES, les Energies Statiques agissant sur les molécules constituantes de certaines Pierres granitiques, judicieusement réparties dans l'Ensemble, venant amplifier et focaliser les Radiations verticales naturelles telluriques du Lieu.

Dans le 1er cas - les Pierres et Ensembles Mégalithiques : Le but est de produire une "Vibration unique" en mettant en parfaite symbiose, par une seule émission harmonique, un flux de radiation et une vibration sonore humaine et/ou instrumentale.
Dans le 2ème cas - à l'intérieur des enceintes bâties et érigées sur de Hauts-Lieux Sacrés : la symbiose d'une "Vibration Unique" est plus subtile à générer. Les mêmes flux telluriques émis épisodiquement sous l'édifice considéré se combinent avec des rayonnements d'ONDES DE FORMES impossibles à étalonner scientifiquement faute de disposer d'appareils de mesures. Ces ondes de formes sont en effet générées (entre autres) par les proportions des volumes, dont les énergies peuvent être tout autant bénéfiques que nocives, ces deux paramètres faisant agir les vibrations moléculaires spécifiques du granit. À l'heure actuelle, seul l'étalonnage aléatoire est possible et efficace, mais il n'est pas reconnu par la science de nos écoles. Reste alors la radiesthésie pendulaire.
Quelles Connaissances devaient posséder les "Officiants Initiés" pour mettre en jeu une telle symbiose énergétique ? Comment savaient-ils utiliser ces forces avec infiniment de Sagesse, en évitant surtout de jouer aux apprentis sorciers.
Notre structure mentale, imprégnée et entièrement conditionnée par un enseignement basé exclusivement sur les sciences humaines, ne permet que très difficilement d'assimiler certains aspects de Lois Universelles, déterminant les Ondes de Formes, les Ondes Nocives et encore bien d'autres "rayonnements" pour lesquels les instruments de mesures n'existent pas encore ( Au Moyen-âge un Ohmètre, un Voltmètre et même un vulgaire Métrix que l'on trouve dans les rayons de chaque supermarché n'aurait servi à rien : La Fée Electricité était encore inconnue. Alors ?)

SUR QUELS ÉLÉMENTS PEUT-ON FONDER DE TELLES AFFIRMATIONS ?

Ces réponses ne sont pas le fruit d'une imagination particulièrement fertile ! Non, il ne s'agit que du résultat de longues et patientes recherches, au demeurant très passionnantes.
Un certain jour, au hasard d'une promenade, je me suis trouvé face à un menhir, planté là au beau milieu d'une lande bretonne. C'était ma première rencontre avec un mégalithe. Depuis je n'ai eu de cesse de comprendre pourquoi cette énorme pierre se trouvait ainsi, fichée en terre, dans un coin aussi éloigné de toute présence et habitation humaine. À quoi avaient-elles bien pu servir dans le lointain passé des hommes ?
Puisque personne, parmi mes contemporains, n'avait - à mon sens - été capable de proposer une explication ou une hypothèse qui tienne debout (Les thèses les plus classiques allaient des sites funéraires, aux rituels de sacrifices humains les plus grand-guignolesques où se trouvaient parfois mêlées de bien curieuses cérémonies à caractère sexuellement dépravées), je commençais un long périple au hasard de déplacements professionnels et de congés.
Ces recherches n'avaient pas pour objet de dresser un inventaire géographique des lieux mégalithiques. Ceux-ci sont disponibles dans chaque région de France, édités à la très louable initiative de quelques passionnés, ou par des promoteurs du tourisme local. En Grande-Bretagne, il existe de très sérieux ouvrages, chacun présentant un inventaire complet et thématique, rigoureux et fort bien documenté de tous les sites. J'épluchais également pas mal de vieux écrits, de savoureuses traditions locales, d'anciennes cartes et archives paroissiales, qui m'amenèrent par épisodes successifs à visiter de nombreuses implantations mégalithiques répertoriées, mais aussi à en chercher d'autres, hors des sentiers battus.
Au début, en marquant les différents sites de même dénomination sur les cartes IGN, je vis apparaître de curieuses formations géométriques reliant certains emplacements à d'autres, particulièrement ceux ayant la même relation toponymique.
Ici il s'agissait d'une longue ligne de plusieurs centaines de kilomètres, là d'un triangle parfaitement isocèle, ailleurs deux points révélaient (en utilisant le compas par la bonne vieille et tellement efficace méthode de la triangulation) l'emplacement d'une pierre parfois bien cachée dans les broussailles ou au milieu d'un vieux marais dont on avait depuis fort longtemps oublié l'existence.
Cela me confortait dans l'hypothèse que l'implantation de ces mégalithes répondait à un plan déterminé. Cependant il me manquait encore un maillon essentiel pour obtenir le premier élément de réponse exploitable...
Or, en Octobre 1982, dans le quotidien Nice-Matin, paraissait sur quelques lignes une information selon laquelle, sous le nom de "Projet Dragon", une équipe de scientifiques avait enregistré des émissions anormales d'ultrasons et des radiations d'intensités irrégulières et épisodiques en provenance du sous-sol à proximité et sur des sites mégalithiques en Grande-Bretagne !

POURQUOI LE "PROJET DRAGON" ?

Pour ceux qui ont abordé le problème des radiations et autres manifestations telluriques, le Dragon est la Bête Mythique par excellence, adoptée depuis des millénaires par certains peuples d'Extrême-Orient. Le Dragon est le Symbole allégorique du tellurisme, en tout ce qu'il comporte d'aspects visibles et invisibles. Durablement et solidement enracinées, il est même transposées par certaines croyances religieuses : n'en citons qu'une (et pas par hasard) celle de l'Archange Saint-Michel terrassant le Dragon !
Depuis des millénaires, les chinois ne construisent rien, ne prévoient aucune implantation de quelque nature que ce soit sans se préoccuper des radiations émises par le sous-sol. En revanche, avec le mépris que nos structures mentales formulent à l'égard de ce qui n'est pas scientifiquement et positivement révélé, la société occidentale néglige totalement l'influence que peut avoir la terre dans ses manifestations les plus subtiles.
Ainsi, ces quelques lignes lues dans la Presse, me permirent de repartir en quête d'autres pièces du puzzle. Après avoir localisé certains participants à ce programme de recherches, j'ai eu accès aux résultats enregistrés par les ingénieurs électroniciens de l'équipe.
Ces derniers avaient été aidé dans leur recherche par un dénommé Tom Grave, radiesthésiste notoire, lequel leur indiquait à l'avance, les lieux où, suivant les époques, ils devaient aller enregistrer tel ou tel type de radiation !
Étaient utilisés des compteurs Geiger, des détecteurs d'ultrasons et des magnétomètres couramment utilisés en géologie. Tous ces appareils avaient été spécialement bricolés et modifiés pour cette mission.
À la lecture de tous ces enregistrements effectués à différentes époques de l'année, je constatais que les impulsions d'ultrasons atteignaient un maximum d'intensité et de durée lors des EQUINOXES, et, étaient pratiquement nulles aux SOLSTICES !
En revanche, le magnétisme montant du sous-sol décuplaient d'intensité durant les SOLSTICES.
Je constatais aussi qu'à certaines périodes irrégulières de l'année, se produisait un phénomène particulier :
1/ le compteur Geiger enregistrait un maximum d'intensité dans une zone formant une ceinture autour du site,
2/ les radiations au centre du site étaient pratiquement nulles,
3/ le centre du site émettait parallèlement davantage d'ultrasons en comparaison avec ce que j'appellerais les "périodes de repos" !

Pour la petite histoire, le "Projet Dragon" est né d'un rapport du siècle dernier exhumé par hasard des Archives du Ministère de l'Agriculture britannique. Un inspecteur agricole régional y informait les fonctionnaires du Gouvernement de sa Très Gracieuse Majesté qu'à certaines périodes de l'année les vaches et les moutons refusaient systématiquement d'aller brouter l'herbe autour des sites où "étaient plantées des pierres". Outre des explications, le brave homme demandait qu'on l'informât des mesures à prendre... (Gageons que les descendants des bergers attendent toujours la réponse !)
Tous ces phénomènes, en apparence inexplicables, renforcent la théorie suivant laquelle nos très lointains ancêtres inconnus - que nos livres d'histoire décrivent toujours comme des êtres simiesques et hirsutes, galopant derrière du gibier en brandissant d'impressionnants gourdins - étaient capables, non seulement de détecter une Force que l'on peut nommer "Energie Terrestre" mais aussi d'ériger en ces points des pierres isolées ou assemblées dans un but qui nous échappe totalement.

Ceci exposé, d'autres questions restent encore sans réponse :
1/ Qui étaient ces lointains ancêtres ?
Ils étaient assurément contemporains d'une civilisation géographiquement très étendue (les sites mégalithiques sous formes de menhirs, cromlechs, dolmens, allées couvertes, et autres cairns répartis un peu partout à la surface du globe en sont la preuve) dont évidemment ne subsiste aucun souvenir dans la mémoire de nos contemporains.
2/ Comment ces pierres de plusieurs tonnes voire dizaines de tonnes, ont-elles été acheminées de leurs sites d'extraction, parfois sur de grandes distances vers leurs sites d'érection ?
Transportées à travers monts et vallées escarpées, passant des cours d'eau, des marécages ; acheminées sur mer ou océan, ces sites constituent en effet un défit à notre compréhension. Pour exemple, prenons le site de Nan-Madol sur l'île de Ponape (Pohn-ah-pay), située en plein pacifique dans l'archipel des Carolines. Cette île abrite des mégalithes assemblés en forme d'énormes murs de plus de 12 mètres de haut et de 5 mètres 50 d'épaisseur, tirés au cordeau, et constitués de gigantesques pierres d'un peu plus de 10 mètres de long que l'on ne trouve pas sur cette île ! La thèse officielle veut que ces pierres proviendraient d'un îlot situé à une cinquantaine de miles à l'Ouest. Mais un tel déplacement sur une telle distance demeure un mystère pour tous les chercheurs !
3/ Quelles impérieuses motivations pouvaient-elles justifier une telle débauche d'efforts ?
Les historiens imaginent toujours que ces hommes utilisaient des foules de travailleurs ou d'esclaves se tuant à la tâche ! Cependant la pratique et les multiples expériences tentées sur le terrain ne permettent pas de confirmer cette vision des choses.
En réalité, ces hommes savaient utiliser d'autres technologies. Mais lesquelles ? Qui peut répondre ? Les dossiers restent ouverts aux hommes de bonne volonté, et particulièrement à ceux qui osent défier la raison, et utiliser d'autres méthodes et moyens d'investigation ignorés par la science.
Les "messages" que certains médiums dignes de foi ont "reçus" le confirment mais bien évidemment si vous pensez que tout ceci n'est que de l'affabulation née d'un esprit fertile tout juste bon à écrire des romans de fiction, vous avez perdu beaucoup de temps en vous aventurant si loin dans cette lecture.

POUR INFORMATION voici deux synthèses de fiches de travail...

1. Synthèse # 1. Fiche de Travail Septembre 1986

Recherche : Sur Ligne de Force partant du S.W. de l'Angleterre.
Point sur le terrain : situé en latit. 51.1 N. - long.4.55 W vers Nord de la France (Pont d'intersection côtier en 50.35 N. et 1.38 E, se prolongeant au-delà suivant une inclinaison régulière et constante de 25° sud, vers l'Est.
Coïncidences : Mégalithes - Lieux-dits associés "au Diable" et "au Loup"
Références topographiques : Cartes topographiques IGN au 100.000° série verte
No. 1 = Abbeville-Calais, No.2 = Lille-Dunkerque. No. 4 = Laon-Arras
Carte Michelin - France 999 - au 1.000.000°

Ouvrages de références : Prehistorics leys in England & Wales - The secret country (More mysterious Britain) de J.& C.Bord -Ed.Granada GB - Leys Lines (their nature & porperties) de J.H. Fidler -Ed..Turnstone Press Ltd.

Exposé
La ligne se trace en partant d'un point situé à 8 miles au N.E. de Pembroke, localité de l'extrème S.W. de la Nlle Galles du Sud (Grande Bretagne) au lieu-dit "the Devil'Quoit" se traduisant par le "Palet du Diable" (une pierre plate), pour aboutir au "Devil's Dyke" (la muraille du Diable) un assemblage de pierres mégalithiques situé à env. 5 miles au N. de Brighton, ville balnéaire du Sussex, ligne passant au dessus du site de la fameuse bataille de Hasting à l'extrême S-E. du conté de Kent, avant de franchir la côte de la Manche en ligne droite vers un point un peu au N. d'Etaples, sur la baie de la Canche et au S. de Boulogne sur Mer, passant à la verticale du Mont de l'Epine et à quelques kilomètres de là, toujours en ligne droite vers l'Est, à l'intersection de RN 1, au lieu dit "La Malmaison" (Maison du Mal ou du Malin) se trouve le "Cabaret à Leu" (Le cabaret au Loup). Toujours sur la même ligne et dans la même direction (suivant toujours l'angle de 25° S.E.) et à 27 km. les deux menhirs d'Asq, lesquels sont en alignement parfait latéral N.E., et, sur une perpendiculaire à 90° et à 3 km, se situent les ruines de l'Abbaye du Mont-St-Eloi. Haut lieu chargé de magnétisme et aux émissions telluriques puissantes et sporadiques. Placé au milieu des ruines, tout individu ayant la chance de pouvoir s'en faire ouvrir l'enclos y ressent "un agréable confort" et une détente physique et mentale.
Puis, plus loin toujours en descendant la ligne suivie depuis la côte et à 6 km, l'on rencontre le dolmen de Frénicourt et à 2 km au S.O., sur la place du village de Gauchain-le-Gal une pierre sphérique d'env. 40 cm de diamètre, pierre enchaînée par les habitants du lieu : Elle ne laissait pas dormir en paix les maris infidèles. Et plus loin, à 23 km du couple de menhirs d'Asq, au lieu-dit "Le Trou aux Loups" se trouvent, formant un cercle parfait de 7 m. de diamètre, 5 bonnettes de pierres taillées de 1 m.60 de hauteur, semblant attendre le plateau qui devait se trouver posé sur des encoches taillées de 30 cm. de haut et de 20 cm d'évidement, sur la face interne supérieure de chaque bonnette. D'après la disposition des 5 pierres fichées en terre, à l'origine il devait y avoir 7 pierres. Une sixième est déterrée, posée sur le sol, à moitié recouverte par les herbes à quelques mètres de là. La 7° est introuvable. Ce site se localise près du village de Camblain-l'Abbé à trois cents mètres au N. de l'autoroute A1.
À 3,5 km toujours sur cette ligne, le dolmen du village de L'Ecluse.
Ce mégalithe est situé à la pointe N. d'un triangle isocèle de 3 km. d'apothème. À l'angle Est, se trouve le menhir du village de Hamel et, à la pointe Ouest, nous avons retrouvé par triangulation sur carte et par rapport aux deux premiers, en plein dans le marais d'Ecourt-Saint-Quentin, sur une petite langue de terre et au milieu des broussailles, un 3ème menhir sans nom, d'environ 2 m. de haut, hors du sol.
Et, continuant d'avancer vers le S.E., à 28,5 km la "Fontaine au Tertre", dont l'emplacement n'est mentionné que sur d'anciennes cartes, à l'emplacement d'une carrière, était fort connue dans le passé pour ses "bienfaits". Ce lieu est localisé à 2 km. au S.O. de la célèbre Abbaye de Solesmes. Ensuite cette ligne que nous avons suivie depuis la pierre plate "Le Palet du Diable" à Pembroke, en Grande-Bretagne, se prolonge au travers de la forêt de Mortmal (une toponymie à souligner) pour aller continuer vers la Belgique et sans doute bien plus loin, mais nos investigations se sont arrêtées là.
Jean Anne
Septembre 1986

 2/ Synthèse # 2. Fiche de Travail Août 1994

Etude Géologique :
Présence de mégalithes associés à des Lieux légendaires ou mythiques, matérialisés sur une Ligne de Forces partant de l'extrême S.E de la Cornouaille britannique, jusqu'à la Forêt de Mortmal et au-delà, passant la Manche séparant le Iles Britanniques du continent Nord-Européen.
La Manche ou le Channel (le canal), ce bras de mer est le résultat d'une subsidence née de la distension du Bloc Continental européen : un bâillement océanique similaire à celui ayant ouvert le Golfe de Gascogne.
Pour la Manche, un phénomène "de ciseau" qui, s'ouvrant progressivement, présente actuellement les deux pointes ouvertes dirigées vers l'Ouest avec, au N. le Cap Lizard en Cornouailles du Sud et, au S. la pointe N. de la Bretagne dont l'extrémité Ouest est l'île de Ouessant.
L'ouverture de ce "ciseau" débute dés le Primo-Trias, il y aurait 100 millions d'années, pour progressivement terminer ce lent mouvement de mâchoires probablement à la fin du Tertiaire ou plus certainement à la fin du Primo-Quaternaire.
La formation de l'angle oriental est beaucoup plus récente : Le Détroit du Pas-de-Calais s'est ouvert en une faille calcaire, dont les deux falaises, celles de Douvres en Grande-Bretagne au Nord et celles du Cap-Gris-Nez en France au Sud (celles de Douvres bien visibles à l'oil nu du Cap-Gris-Nez) n'étant distantes que d'environ 30 km., après la dernière glaciation , ce sous la poussée des eaux contenues en amont en un immense lac proglaciaire occupant actuellement l'emplacement actuel de la Mer du Nord et de la Mer Baltique et, conjointement, l'afflux des eaux d'un gigantesque ruissellement venant de l'Europe du Nord et, également d'une grosse partie de la Calotte Glaciaire : Enorme flux s'écoulant le long des côtes bordant l'actuelle Mer de Norvège. D'où la présence de vallées alluvionnaires, chenaux anastomosés (parallèles) formant le sol de ce canal marin.
Combien de temps a-t-il fallu pour que s'ouvre ce "couloir" du Pas de Calais ? La réponse reste à trouver.
Le plus étonnant est la présence de deux phénomènes géologiques sous-marins :
Le premier, une faille sous-marine descendant vers l'Ouest, coupant le Canal suivant un axe incliné de 25° partant en face de Brighton, dans le Sussex, pour aboutir devant Etaples, à l'embouchure de la Vallée de la Canche (qui en serait, en toute logique, le prolongement naturel) dans la Somme.
Le second est un axe anticlinal (partie convexe d'un pli géologique simple) parallèle à quelques kilomètres au Nord de cette "Marche", partant loin de l'intérieur des terres de la campagne anglaise, toujours suivant également une inclinaison de 25° pour, passant par Hastings, traverser le détroit, à cet endroit large de plus de 60 km., se prolongeant en une ligne droite au-delà de la côte française, qu'elle coupe au Sud de Boulogne-sur-Mer.

Conclusions
Il est à remarquer que cet axe anticlinal géologique se confond avec la Ligne de Force, sur laquelle se trouve tout le chapelet de Mégalithes et de Lieux-Dits énumérés dans le texte "Le Mystère et le Secret des Pierres".
Ceci étant une explication de cela.
Pourquoi ne pas ajouter également que dans le Nord de la France, il existe depuis des millénaires une "Voie de Déplacement" des populations successives, empruntée aussi par des invasions de peuples et peuplades venant de l'Est de l'Europe, Voie étonnante aux nombreuses Légendes et dont certains tronçons, en particulier un partant d'Arras, passant par le Mont-St-Eloi, sont encore visibles et utilisés comme route départementale, rigoureusement rectiligne, nommée "La Chaussée Brunehaut".
Restent encore et toujours quelques questions sans réponses, parmi lesquelles une très pertinente.
Il serait important de savoir si les implantations mégalithiques sur toute la longueur continue de cette Ligne, tant de la Grande-Bretagne que du Nord de la France, pourraient être antérieures au "déverrouillage" du Détroit du Pas de Calais. Dans cette éventualité, il pourraient logiquement s'en trouver des restes au fond de la mer entre Etaples et Hastings, sans doutes maintenant recouvertes par les couches alluvionnaires.
Sinon, comment et par quels moyens, en ces temps reculés, nos lointains Ancêtres auraient-ils pu avoir connaissance de cet axe anticlinal géologique, et que, ce dit axe est le support ou le vecteur d'une importante Ligne de Forces tellurique dont il fallait canaliser et utiliser les émissions radioactives, magnétiques et ultrasoniques par l'implantation de mégalithes en les disposant et assemblant sur les points d'émergence.
Il serait simple de comprendre que si la ligne passait directement du Cap-Gris-Nez à Douvres, les "planteurs de pierres" voyaient de part et d'autre du Canal les côtes respectives. Mais que d'Etaples à Hastings cela est impossible aux sens de la vision humaine (même avec de très fortes jumelles !).
À moins, peut-être, de s'élever assez haut dans le ciel ?
En postulant pour cette d'hypothèse nous rejoignons le problème des Pistes de Nazca au Pérou..(*)
Tout point d'interrogation est la terminaison classique d'un travail de recherche jamais terminé et à suivre en attendant d'autres futures découvertes ou révélations de connaissances détenues par d'autre chercheurs.

(*) Avant de clore la reprise de ce travail datant de plusieurs années, de le mettre en forme aux normes informatiques, je voudrais ajouter que beaucoup d'énigmes ont pour moi et une équipe de chercheurs, complices de mes travaux de recherches, trouvé des réponses cohérentes.
Jean Anne
 07 Janvier 2002

(ndlr : Lire d'autres travaux de recherche de Jean Anne : AKALAL, Eux, Nous et Ailleurs.., sur le site de Fred Idylle, et la suite de la "Saga des civilisations" dans notre prochain numéro)

Texte original de Jean Anne - TOP SECRET N°1 > Juin-Juillet > 2003
 
   

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