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Les Technologies Perdues de l'Égypte Ancienne |

 
C.D. - TOP SECRET N°51 > Octobre-Novembre > 2010 |
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Des Avions Antédiluviens ? |
 Il existe des mystères sur le passé de l'humanité qui effraient la science parce qu'ils ne cadrent pas avec ses théories. L'archéologie en fournit de nombreux exemples. Certains suggèrent fortement qu'une très ancienne civilisation inconnue pratiquait l'aéronautique !
Des hiéroglyphes incroyables : En 1842 une expédition d'archéologues allemands a signalé avoir vu dans le temple de Sethi 1 à Abydos, des inscriptions très curieuses se trouvant près d'un plafond, à environ sept mètres du sol. Pour des raisons qui seront faciles à comprendre bientôt, cette découverte a été très vite mise sous le boisseau. Pour quelles raisons ? Parce que le graphisme des objets représentés ne s'accordait absolument pas avec l'ancienneté des civilisations humaines imposée par la science.
Par la suite, des touristes ayant visité ce même temple ont rapporté la description de ces signes. Malheureusement, les détails livrés ont été jugés tellement énormes qu'on a longtemps cru à un canular. C'est d'ailleurs la première réaction qu'a eue l'auteur Alan Afford. Pour lui, ces prétendus hiéroglyphes étaient trop beaux pour être vrais. Et pourtant, lors d'un voyage en Égypte en 1997, il s'est rendu à Abydos, ce qui lui a permis de constater de ses yeux la réalité d'un fait que son esprit ne voulait pas admettre. Hélas pour Afford, ses clichés manquaient de netteté. Puis, la psychothérapeute Ruth Hover et son mari, qui se rendent fréquemment en Égypte, ont été sollicités pour tenter de ramener des photos plus claires. La photo la plus réussie de ce couple pouvait être trouvée dès 1999 sur le site de l'ufologue très engagé Bill Hamilton.
Étranges "oiseaux" : Je rappelle qu'en 1975, le chercheur Ivan Sanderson, bien connu en son temps, a fait connaître l'existence d'un petit objet en bois de balsa exposé au Musée du Caire, identifié par les archéologues comme étant une "maquette d'oiseau". Là, il ne s'agit pas non plus d'une "manipulation" frauduleuse, mais d'une relique de l'ancienne Egypte trouvée en 1898 dans une tombe appartenant au fameux site archéologique de Saqqarah. Il avait été négligé avec d'autres trouvailles anciennes entassées dans les sous-sols du musée, mais il a été retrouvé par le Dr. Kahlil Messiha en 1969, qui l'a exposé avec treize autres "oiseaux" identiques dans une vitrine accessible au public en 1972. En fait, cet objet ne correspond pas au physique d'un oiseau, mais suggère plutôt un planeur. Le corps ressemble à un fuselage, les ailes sont droites et réunies ensemble sur le dos du fuselage pour former un seul bloc. Quant à la queue, elle se termine non pas horizontalement mais verticalement, comme s'il s'agissait d'une dérive d'aéroplane, mais sans ses empennages horizontaux...
Jean Sider - TOP SECRET N°18 > Avril-Mai > 2005 |
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Objets Volants Impossibles |
En 1898, on a trouvé dans une tombe à Saqqarah en Égypte, un objet ailé daté de 200 ans av. J.C.. Comme les avions n'existaient pas dans l'ancienne Égypte, il fut répertorié comme figurine d'oiseau en bois et classé sous le N°6347 dans le "rayon jouets" au sous-sol du musée du Caire.
Il demeura ignoré jusqu'en 1969, quand le Dr Khalil Messiha qui étudiait les maquettes des anciens égyptiens, fut intrigué par cet oiseau bizarre.
- Aux formes aérodynamiques comparables à nos planeurs modernes.
- Qui a une queue verticale et non horizontale.
- Avec comme inscription : "don d'Amon", le dieu du vent.
- L'objet en sycomore léger pèse 39 grammes, fait 14 centimètres de longueur pour 18 d'envergure.
- Ses ailes sont en dièdre inverse, ce qui procure une meilleure manouvrabilité en vol au détriment de la stabilité.
- Il est parfaitement "centré" ; son centre de gravité se situe au tiers de la corde de l'aile.
Il peut donc voler !!! Comme l'ont démontré les répliques en balsa qui ont été faites, en y rajoutant une pièce fendue à l'endroit marqué sur la queue faisant office de gouverne de profondeur. Il est maintenant étiqueté comme maquette d'avion, ainsi qu'une quinzaine d'autres artefacts ailés, et a fait l'objet d'une exposition spéciale dans le hall central du musée du Caire en 1972.
Il y a 2200 ans, qui pouvait avoir de telles connaissances aérodynamiques ? Comment ont-ils obtenu ce savoir ? observation ? voyance ? ... À noter que les égyptiens étaient connus pour faire des maquettes de leurs projets de construction ainsi que des objets familiers au mort afin de les placer dans sa tombe pour l'éternité. Pour certains, ces "oiseaux" ne sont que de simples girouettes... indicatrices de la direction du vent, d'où la queue verticale...
Environ 2500 avant J.C., en Égypte, à Saqqarah, pendant la 5è dynastie, des artistes ont peint sur un mur de la tombe de Ptah-Hotep un bien curieux personnage qui correspond à la description des "petit-gris".
Puis un Webmaster (anonyme) a diffusé d'autres photos tirées de l'ouvrage intitulé : "In The Shadow Of The Pyramids - Egypt during the Old Kingdom", textes de Jaromir Malek, photographies de Werner Forman (1986). À la page 76, on pourrait y voir cette photo (regardez en bas à droite, puis l'agrandissement).
 
Une image peut être trompeuse, officiellement, il s'agit d'un vase.
Sur cet agrandissement, on devine un bras désincarné et un cartouche qu'il serait intéressant de déchiffrer. Pourrait-on faire un lien avec un article paru dans le magazine égyptien "Rose El-Yussuf" relayé par "Le Monde De L'Inconnu" dans le numéro 283 d'avril 2000 ? Selon cet article, l'égyptologue français Louis Caparat aurait découvert, en 1988, dans une salle secrète de la Grande Pyramide, un humanoïde à l'intérieur d'un caisson d'apparence cristalline. L'humanoïde semblait en état d'hibernation ou de mort apparente.
Un papyrus trouvé à proximité raconterait sa rencontre avec le pharaon Khufu qu'il aurait convaincu de construire la grande pyramide pour lui servir de tombeau après lui avoir annoncé l'arrivée future d'autres aliens de son espèce. De plus Caparat aurait contacté son collègue biologiste espagnol Francisco de Braga qui aurait été refoulé par les autorités égyptiennes. Canular, désinformation ou dissimulation ?
En Égypte : De nombreux objets, découverts notamment en 1850 par M. Mariette près du sphinx, (vases et bijoux dorés à l'or), font penser à l'usage de la galvanoplastie, car les couches sont parfaitement uniformes, sans traces de soudure ou de travail manuel.
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Ces deux palettes votives en ardoise proviennent d'Hierakonpolis en Haute-Égypte et datent de l'époque prédynastique de l'ancienne Égypte, soit environs 3 300 ans av. J.C..
Chiens ou dinosaures ?
The Narmer Palette
(Great Hierakonpolis Palette)
Cairo J.E. 14716, C.G. 32169
The Hierakonpolis Palette
(Little Hieraconpolis, Two Dogs, Oxford, Ashmolean Palette)
Ashmolean Mus. E 3924 |
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Parmi les nombreux sceaux égyptiens de la célèbre collection Philip Mitry, certains décrivent des animaux que l'on pourrait rapprocher des dinosaures.
Par exemple, ce sceau (environ 1400 ans av. J.C.) orné d'un animal ressemblant à un plésiosaure sous le cartouche de Tutmosis III. |
Énigme de l'Éclairage dans l'ancienne Égypte |
Parmi les nombreuses énigmes que la civilisation égyptienne nous a posées, il en est encore qui ne sont pas résolues, en particulier celle-ci : Comment les égyptiens s'éclairaient-ils ? Dans la vie courante, on sait qu'ils employaient des lampes à huile ou des torches, qui laissaient de nombreux résidus gras de combustion sur les murs et les plafonds.
Mais dans les tombeaux de la vallée des rois, par exemple dans celui de Seti II, creusé dans la montagne sur plus de 100 mètres, on ne trouve aucune trace de suie sur les murs ou les plafonds qui sont tous peints et gravés dans la roche. Les artistes ont travaillé sans la lumière du jour, et sans lampes à huile ni torches.
Des scientifiques ont émis l'hypothèse qu'ils s'étaient simplement servis de miroirs pour réfléchir la lumière du soleil à l'intérieur des couloirs et des salles. (Ankh-Djed ->)
N'en déplaise à ceux qui pensent que l'Égypte n'a aucun mystère pour les savants du XXè siècle, ça ne marche pas !
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Les miroirs d'argent des Égyptiens ne pouvaient refléter au mieux que 40% de la lumière, ce qui fait qu'après l'utilisation de quelques miroirs seulement, l'obscurité reprend sa place. |
Le mystère reste entier...
On a cependant trouvé dans la chambre intérieure du temple d'Hator à Denderah, des bas-reliefs, vieux de 4200 ans, surprenants, qui ne pouvaient avoir qu'une interprétation cultuelle au XIXè siècle, mais qui nous rappellent étrangement des ampoules électriques !
Les égyptologues nous racontent que ces bas-reliefs sont voués au culte du serpent...
Erich Von Daniken a reconstruit ces bulbes en laboratoire :
 
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