La Technologie des Anciens

Puisque pour l'histoire orthodoxe, les sociétés de l'ancienne histoire ne sont que mythes et fables, il fallut attendre l'arrivée d'un passionné pour remettre de l'ordre dans ce qui n'était auparavant considéré que comme un monde de fabulations.

En 1863, riche d'une fortune personnelle, Heinrich Schliemann décide d'abandonner les affaires pour se dédier entièrement à son vieux rêve d'enfance : retrouver les mondes oubliés de l'époque homérique. Intelligents et curieux, ses travaux permirent de mettre à jour des vestiges et des artefacts que l'on pourrait classer dans la catégorie des "anomalies". Schliemann avait de fait découvert que les fouilles archéologiques effectuées par les maisons orthodoxes ne faisaient que gratter la surface dans bien des cas s'arrêtant après quelques mètres à peine. Comme il le démontra si bien dans sa découverte de la Troie antique, plusieurs nouvelles "Troies", pâles copies, furent construites successivement par-dessus une importante couche de sédiments ayant recouvert le site original. Cette même couche importante de sédiments que les archéologues du monde de l'Ouest avaient unanimement identifiée comme stérile et en dessous de laquelle personne ne creusait. Depuis, d'autres aventuriers de l'histoire ont pris la relève. Von Daniken, Robert Charroux et bien d'autres ont attiré l'attention du public sur d'étranges artefacts. De fait, il n'est plus possible d'ignorer certaines anomalies car en observant bien, on se rend compte qu'il y en a partout. Ainsi, il apparaît comme une évidence que le modèle orthodoxe est cassé depuis un bon moment. L'histoire telle qu'on nous la raconte est un conte de fée pour les grands.

UNE VISION DE L'HISTOIRE... UN ÉTERNEL RECOMMENCEMENT

Il est possible, à partir de sources anciennes et de certains travaux, de reconstruire une trame à peu près juste de notre véritable histoire, permettant du même coup la mise en place d'un modèle où aucune pièce du puzzle n'est laissée de côté comme anomalie. Bien que l'ancêtre de l'homme ait pris pied sur Terre il y a plus de huit millions d'années ; bien que certaines sources occultes indiquent des racines bien plus anciennes ; la prolifération et le développement nécessaire à construire des sociétés, précepte à la civilisation, est apparent depuis environ 70.000 ans seulement.
Toutefois, il est important de mentionner que des artefacts possédant des caractéristiques de sociétés développées ont été retrouvés en grande quantité dans des couches géologiques jusqu'à deux millions d'années, ne laissant aucun doute sur l'existence de plusieurs cycles de civilisations précédant ceux connus. Bien qu'il ne soit donc pas possible de nier qu'il y ait bien eu "quelque chose", ces évènements datent d'une période dont la mythologie même n'a pas souvenir. à travers les mythes et légendes apparaît pourtant une première humanité possédant une structure suffisante pour être identifiée comme société.
Au fil de ces récits, notre histoire apparaît alors, véritable cascade de civilisations qui se sont succédées à un rythme affolant. C'est un livre haletant qui se parcourt, un livre dont chaque page représente la lancée d'un nouveau groupe possédant sa manière propre de faire les choses. Dans tous les cas, l'histoire de ces civilisations se termine par un point, à la fin d'une page. Comme s'il survenait à chaque fois une grande catastrophe, un cataclysme planétaire capable de tout renverser sur son passage. Les assoiffés de pouvoirs religieux, politiques, financiers et royaux, se succèdent, mais tous se courbent devant cette grande vague céleste au profil destructeur, qui passe et qui bouscule toute la planète, ne laissant personne à l'abri et certains encore moins que d'autres. Les réchauffements et refroidissements climatiques et les perturbations magnétiques qui ont pris place à travers les âges ont continuellement remodelé l'apparence de la Terre. Durant les époques où la planète se refroidissait, les chapes de glace recouvrant les pôles prenaient du volume et recouvraient des territoires beaucoup plus importants que maintenant. Ce faisant, le niveau de la mer s'abaissait graduellement et laissait apparaître de nouveaux rivages.
Deux mille ans, cinq mille ans passaient, l'Homme oubliait ou ne croyait plus ces vieilles farandoles à propos des désastres occasionnés par le ciel. Inévitablement, il réinstallait sa demeure à l'endroit le plus profitable pour vivre. Bientôt fleurissaient cités et villages le long des côtes. Soudainement, provenait cette vague de perturbations du climat venue d'on ne sait où. Le temps que l'optimisme s'effondre et il était déjà trop tard. En un tour de main, à la vitesse du claquement d'un fouet, tout ce qui constituait la civilisation d'alors disparaissait du jour au lendemain. Le peu qui en subsistait, devenait rare, riche et sacré.
Il est difficile pour nous, homme moderne qui sied si bien à son fauteuil, de comprendre l'ampleur et la portée des évènements qui sont décrits dans les textes comme ceux de Platon, du Kolbrin, Oera Linda, ou de ces mythes et légendes provenant des tréfonds de l'histoire et qui transpirent à travers toutes les civilisations de la planète. Les plus petits de ces évènements laissèrent place à des témoignages décrivant des scènes absolument horrifiantes, difficilement imaginables et imprimant dans la mémoire des hommes restants, un souvenir qui se voulait impérissable. Les carnets occultes nous laissent entrevoir des civilisations où les hommes qui les écrivaient, possédaient des préoccupations bien similaires aux nôtres. Et comme en témoignent certains artefacts, certaines de ces civilisations atteignirent un apogée bien avant la venue des Romains.

LA TECHNOLOGIE DES ANCIENS

Il existe une relation étroite entre les ondes gravitationnelles, l'électricité et le climat. Ce lien est d'ailleurs un phénomène que beaucoup d'individus à l'esprit scientifique ont appris à mesurer et à exploiter au cours de l'histoire. Comme nous allons le voir, depuis les tréfonds de l'histoire les hommes ont toujours su capturer et utiliser cette énergie. Ainsi, comment pourrions-nous croire que Benjamin Franklin, en 1752, dans le cadre d'une expérience appelée "Philadelphia Experiment" aurait pu être assez fou pour faire voler un cerf-volant tenu par un fil conducteur dans un orage électrique ? En fait, ses observations personnelles sont très claires. Il souhaitait "soutirer l'énergie électrique d'un nuage". L'essence de l'expérimentation de Franklin n'a jamais été de vérifier si les éclairs étaient électriques, tous pouvaient constater l'effet de la foudre lors d'un orage. L'essence de l'expérimentation de Franklin n'a jamais été de voir si l'électricité d'un éclair pouvait être acheminé à travers un conducteur. Franklin avait déjà réalisé des expérimentations avec des condensateurs de Leyden et différents types de conducteurs pour transmettre le courant. L'essence de l'expérimentation de Franklin était de vérifier si le ciel était "en tout temps" rempli de cette électricité qui occasionnait parfois les éclairs électriques durant les orages. Cette électricité que les anciens savaient très bien utiliser. C'est cette même énergie que des Tesla, TT Brown, Volts, et des douzaines d'autres avaient appris à travailler et qui fut proprement rayée de l'histoire pour être ensuite redécouvert par des Bendini et des Naudin.

L'ÉLECTRICITÉ DES ÉGYPTIENS

Le temple de Salomon et la Bibliothèque d'Alexandrie possédaient des paratonnerres. Dans son livre Gods Fire de la série Quantavolution, Alfred De Grazia nous parle avec passion d'une Égypte antique qui possédait une grande expertise de cette électricité atmosphérique. La récupération et l'utilisation de cette électricité étaient, tout comme de nos jours, sous la responsabilité d'un "électricien".
De Grazia nous explique qu'à cette époque, les charges d'électricité atmosphérique entourant la Terre étaient beaucoup plus élevées qu'elles ne le sont aujourd'hui. Ce phénomène étant à l'origine des éclairs atmosphériques, apparaissait dans un ciel sans nuage et occasionnait beaucoup de dommages.
La pyramide était alors coiffée du fameux pyramidion maintenant disparu. Ce même pyramidion, avec son oil représenté dans le symbole des franc-maçons, était en réalité une "antenne" visant à récupérer cette électricité atmosphérique pour remplir différents besoins. Un de ces besoins était d'alimenter l'oil d'Horus situé sur le pyramidion et qui s'allumait lorsque les variations d'électricité atmosphérique atteignaient des niveaux dangereux, de façon à avertir les habitants des dangers potentiels, l'oil signifiant "surveille".
Pour être en mesure de récupérer l'électricité atmosphérique, il est de fait important d'avoir un système électriquement isolé du sol. Il est donc facile de croire que la base du pyramidion possédait un isolant similaire.
Curieusement, certaines pyramides américaines et égyptiennes possédaient à leur base une couche de mica, isolant électrique naturel utilisé encore de nos jours. Nous pouvons en déduire que certains utilisaient la totalité de la pyramide pour récupérer l'électricité atmosphérique alors que d'autres le faisaient par l'intermédiaire du pyramidion.
Très curieusement, c'est cette même énergie électrique en provenance de l'atmosphère qui se construit sur toutes les surfaces métalliques et circuits électriques de la planète aujourd'hui et que nous nous dépêchons d'acheminer dans les mises à la terre où elles se dissipent instantanément, pendant qu'on nous revend à prix d'or l'électricité provenant d'un barrage gigantesque. En outre, les législations d'une bonne partie des pays industrialisés interdisent l'utilisation ou la commercialisation d'un équipement qui utiliserait une telle source d'énergie atmosphérique. Comme les choses sont bien faites, n'est ce pas ?

Souvenez-vous des fameux conduits qui furent observés par un robot à l'intérieur de la grande pyramide il y a quelques années. Ces conduits servaient à amener deux conducteurs de cuivre rigide de l'extérieur de la pyramide jusqu'à l'intérieur. Les deux pointes de cuivre qui apparaissent sur les pierres fermant le conduit, loin d'être des poignées, sont les restes de ces conducteurs qui traversaient la muraille de la pyramide après que les générations suivantes l'aient nettoyée. Les égyptologues ont souvent présenté cet objet comme le symbole de la colonne vertébrale d'un Dieu, mais le "JED" n'a rien de magique. Ce n'est qu'un isolant de porcelaine comme on en retrouve dans tous les systèmes à haute tension. Un des grands mystères soulevé par les temples d'Égypte et les grands tombeaux creusés de la vallée des rois, réside dans le fait qu'il n'a jamais été retrouvé trace de combustion au plafond de ces galeries. La question qui se pose est donc de savoir comment les égyptiens faisaient pour s'éclairer ? Comment les Égyptiens ont-ils pu exécuter des fresques et des gravures aussi admirables dans ces galeries où régnait l'obscurité la plus totale ? S'ils avaient utilisé des flambeaux, comme on le prétend, des traces auraient été visibles au plafond... Il a été démontré également qu'un jeu de "miroir" n'aurait pu permettre à la lumière de se réfléchir jusqu'aux galeries les plus profondes. Alors, les égyptiens connaissaient-ils l'électricité ?
DES GRAVURES DU TEMPLE DE DENDERA QUI NE SONT RESOLUMENT PAS DE LEUR TEMPS (à g.)

TECHNOLOGIE DES CIVILISATIONS ANTIQUES

Pour peu qu'on s'éloigne des sentiers battus, lorsqu'on recule dans l'histoire, les témoignages des spectaculaires réalisations des hyperboréens commencent à se faire plus criants, plus réels et laissent place à des récits qui ressemblent à s'y méprendre à de la science-fiction. Le peu de sources fiables provenant du grand nuage de la mythologie nous laisse entrevoir une civilisation développée et assez similaire à la nôtre, sachant faire des choses qui ne sont d'ailleurs pas encore à notre portée. Qu'en est-il par exemple de cette mystérieuse pierre utilisée par les tribus nubiennes, appelé "traducteur" et qui pouvait répondre aux questions dans la mesure où la question était posée dans un certain langage, connu exclusivement de l'unique sorcier traducteur.
Les mythologies grecque, égyptienne, asiatique et indienne possèdent toutes de pareilles histoires. Des appareils qui fonctionnent seuls, des appareils pour voler dans l'espace, des sous-marins, des robots, des objets qui ont été rêvés il y a à peine deux siècles dans notre société moderne.
À un moment de l'histoire, l'homme possédait un savoir et des moyens que nous n'avons pas et qui vont bien au-delà de ceux qu'offre l'actuelle société.

GRAVURES SUMERIENNE DE GENS TRAVAILLANT DANS UNE ARMOIRE DE CABLAGE (à g.).
Encore de l'éléctricité ? Possible... Technologie sans aucun doute (centre et à d.)

LE SAVOIR PERDU DES ANCIENNES CIVILISATIONS

Selon l'histoire ancienne, les premiers habitants connus de l'Amérique du Sud ne savaient pas qui étaient les bâtisseurs de la muraille d'Aramu muru au Pérou. Ces pierres, qui selon la mythologie locale étaient déjà vieilles au moment de leur arrivée sur place, auraient permis de lancer des flèches sur les bateaux. Il importe toutefois de mentionner que l'étendue d'eau la plus proche est à 25 km de distance. Un important tumulus situé tout près de la muraille serait en réalité une cité entière qui, à l'instar de plusieurs pyramides, aurait été enterrée.
Dans Hamlet Mill, Santillana nous laisse entrevoir un peu de cette ancienne science lorsqu'il fait référence à la mythologie nordique. Santillana se demandait ce que pouvait bien être ce "curieux moulin" trônant au centre des bâtiments communaux et dont il fallait toujours contourner les murs de pierre. Un moulin qui ne fonctionnait ni au vent, ni à l'eau, mais qui était en mesure de tout faire, préparer la nourriture, faire le labour, faire les foins. Un gros panneau de toute sorte de couleur le recouvrait et il fonctionnait en utilisant la "force de la Terre" grâce à trois pattes, une dans les airs, une dans la terre et une dans l'eau. Ce récit fait ensuite référence à un grand bateau en cuivre venu arracher les moulins pour les lancers au fond de la mer où ils tournent toujours.

Autres représentations de technologies anciennes en provenance du Pérou et du Yucatan.

CONCLUSION

Enfin pour conclure, il est dit dans un hymne indien adressé au Soleil appelé le Rigveda, "se souvenir que le soleil traverse 2202 yojanas dans une demi-nimesha". La narration épique Indienne du Mahabharata, qui fut couchée sur manuscrit au début de notre ère environ, définit le nimesha comme étant 16/75,3 secondes. 1 yoyana équivaut à approximativement quinze kilomètres. Les académiciens occidentaux se gaussèrent en découvrant le texte. Insinuer que le Soleil voyage dans l'espace à une vitesse de 300.000 km/sec "était tout à fait ridicule". Ce genre de divagation ne faisait que leur confirmer ce qu'ils clamaient déjà, à savoir l'ignorance crasse de ces peuples anciens à l'égard de tous les mécanismes célestes.
Et puis le temps passe... Et l'on découvre bientôt que les mots "lumière" et "soleil" possèdent la même racine en sanskrit ancien. Finalement au 17ème siècle, on découvre que la lumière se déplace effectivement à la vitesse de 300.000 km seconde ! Le texte devient limpide et époustouflant d'exactitude... Et plus personne pour s'étonner d'une telle précision de la part des peuples anciens... C'est désormais le silence...

Pierre de Chatillon - TOP SECRET N°27 > Octobre-Novembre > 2006
 
   

Copyright © 2004 - C.S.M.